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Il y a un peu plus d'un an, j'ai décidé de donner corps à un projet que je gardais dans mon tiroir depuis superrr longtemps: mon blog. Un blog dans lequel je parle principalement d'entrepreneuriat féminin à travers des interviews; mais aussi de mes opinions et de mes expériences sur la vie en général et des sujets "de filles". Parce que ma principale cible c'est vous LES GIRLS!  

Le bilan
 
Plus de 12 mois après, je suis très fière. Non, je ne suis pas (encore) devenue une créatrice de contenu très connue😁 Mais j'ai ENORMEMENT APPRIS. Le blog m'a conduit à créer une page Facebook, et à davantage travailler sur mes comptes Instagram et LinkedIn. J'ai fait beaucoup de belles rencontres, j'ai reçu beaucoup de retours positifs, j'ai reçu beaucoup de conseils et d'encouragements. J'ai douté, j'ai eu des publications sur mes réseaux sociaux avec zéro like, des publications avec beaucoup de likes, des stories que beaucoup regardent mais que personne ne commente, etc. La vie quand on crée du contenu, c'est faire face à tout ça. Et avancer quand-même.  Et je suis très contente du chemin parcouru, quand je pense à toutes les peurs que j'avais.
 

Abandonner mes peurs grâce au blogging
 
C'est depuis 2015 que je voulais créer du contenu sur le web, et j'ai toujours eu peur. Je me demandais si ça va intéresser les gens, si les gens vont adhérer à ce que je vais proposer, si je réaliserai mes objectifs. Aujourd'hui encore, les peurs sont là. Mais je les écoute moins. J'ai lu pas plus tard qu'hier que la peur du regard des autres est une prison mentale. C'est totalement vrai. Bien-sûr, on a besoin de l'avis des autres surtout quand il s'agit de personnes qui apportent des avis constructifs et bienveillants; et qu'on peut s'améliorer grâce à cela. Mais je me suis longtemps construite dans le regard des autres. Et je ne veux plus le faire. 
 
Le blogging a-t-il un futur?
 
Il y a des fois où je me demande si le blogging tel que je le fais ici a un avenir. En vrai, combien de personnes aujourd'hui lisent encore des blogposts, maintenant qu'il y a les réseaux sociaux avec la vulgarisation du format vidéo? Le format texte n'est plus très tendance, mais je pense qu'il a encore de belles années devant lui. Il aura toujours de belles années, parce qu'il y a une véritable beauté derrière un texte qui vous touche, qui vous transmet quelque chose, qui vous donne des informations. Et moi-même je continue de lire beaucoup de blogs, camerounais et étrangers. Et ça me plait toujours autant.

Et maintenant?
 
Je continuerai assurément à écrire, à créer du contenu, à imaginer des choses à vous proposer. J'ai lancé la deuxième saison de mon podcast, ma communauté sur la page Facebook grandit, je continue de contacter des entrepreneures désireuses de partager leur expérience. Je m'améliorerai en permanence, notamment en ce qui concerne la régularité et la variété des publications. Et par dessus-tout, je désire devenir meilleure qu'hier, et que mon travail ait un véritable impact. Que ça vous apporte un plus quoi! Merci à chacun(e) d'entre vous qui est passé sur ce blog, à chacune des entrepreneures interviewées, à chacun(e) de mes followers sur les réseaux sociaux, à ceux qui croient en moi, à ceux qui ne commentent pas forcément mais qui aiment malgré tout ce que je fais. J'aime beaucoup ce que je fais. Et je vous aime💗
Zuzus



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Ce post, je l'ai rédigé pendant la période des fêtes de fin d'année. Une période qui a toujours été spéciale pour moi, au regard de l'ambiance qu'elle créé et des moments d'introspection qu'elle occasionne. 2019 a été une année riche, durant laquelle j'ai beaucoup grandi, appris, ri, pleuré, et surtout lâché prise. Oui j'ai lâché prise sur un tas de choses, notamment sur les relations qui, à bien y penser, ne me permettaient plus de me sentir épanouie.

Je crois véritablement qu'elle est pleine de sens, la citation qui dit: "Si une situation ne vous convient plus, il faut partir. Vous n'êtes pas un arbre".- (Bon l'original est en anglais et je n'ai fait que traduire comme j'ai compris, mais c'est un peu ça l'idée).
Après l'euphorie des fêtes, la magie s'éteint peu à peu, et la vie reprend en quelque sorte son cours normal. Je réalise que je l'ai vraiment fait. M'éloigner d'un certain nombre de personnes pour de bon. Quoiqu'on dise, ça fait un peu bizarre de ne plus avoir de contact, de ne plus se voir, de couper les ponts définitivement. Mais c'était devenu nécessaire pour moi d'en finir avec des "amitiés" qui étaient déjà éteintes depuis longtemps.

Parfois, on se dit que l'on doit garder une relation absolument, parce qu'on se connait depuis qu'on est enfants, parce qu'on a grandi ensemble, parce que nos familles se connaissent, parce qu'on fait les 400 coups, etc. Sauf qu'il peut arriver aux uns et aux autres de changer, sans que votre amitié en sorte indemne. On s'accroche aux souvenirs, on veut croire que le lien qui nous unit est toujours aussi solide, on se donne rendez-vous sans une réelle envie de se voir. Or, la vérité c'est qu'on mène nos vies séparément sans plus se faire des confidences comme avant, on cherche des sujets de conversations pour combler les silences gênants, on fait des selfies avec des sourires de circonstance, on ne se manque plus. Pour ma part, le constat que j'ai fait avec certaines amitiés, c'est qu'on est passé en mode "sens unique".

 Être celle qui appelle ou texte toujours, celle qui fait de son mieux pour être présente, celle qui veut faire plaisir même quand elle est limitée financièrement, celle qu'on n'appelle jamais quand tout va bien mais qui sert de psychologue de service quand tout va mal, celle à qui jamais on ne demande sincèrement comment elle va... Au bout d'un moment, c'est un rôle qu'on se lasse de jouer. Peu importe les bonnes intentions qu'on a, il faut avouer une chose: on a besoin de réciprocité. J'ai attendu une réciprocité qu'on ne voulait plus me donner, perdant confiance en moi au passage. Alors j'ai décidé de rompre ces amitiés qui ne m'apportaient plus d'épanouissement, plus de réconfort, plus d'instants sincères de partage.

J'ai décidé de nous épargner cette comédie qui ne nous grandissait pas, et d'avoir le courage de m'affirmer telle que je suis. Cela peut paraître égoïste, mais se voiler la face et faire comme si on est lié par une véritable amitié ne permet pas, selon moi, d'éviter la solitude. On peut faire la fête ensemble, mais lorsqu'on est mal et qu'on a besoin d'une épaule pour pleurer, ces personnes sont-elles présentes? J'ai compris que la qualité est préférable à la quantité, et qu'il vaut mieux avoir peu d'amis sur qui on peut réellement compter. Oh je suis loin d'être parfaite, et moi-même j'ai encore du chemin avant de prétendre être l'amie idéale. Simplement, j'ai compris que le commérage et les conversations futiles ne sont pas un centre d'intérêt de premier choix. Et je suis assez fière de moi, pour avoir franchi ce cap. Avoir moins d'amis n'est pas un malheur, et qui sait, l'avenir peut nous en apporter d'autres.


Ayons des amitiés qui nous permettent de grandir, de comprendre le monde, d'être nous-mêmes, de nous sentir bien, de nous améliorer, d'être positifs, de nous dépasser, d'être plus tolérants. Et sachons quitter certaines choses avant qu'elles nous détruisent.

Zuzus






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